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Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires

Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires

Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires
Suite à succession familiale de la région Beaunoise. Modèle laiton émaillé avec bordures noires, fleur de lys et cercle de devise bleu. Il s’agit du modèle de variante le moins courant, il semble exister 3 modèles identiques mais en variante et un quatrième dans le même esprit. Autour de 1870, on fabriqua à Paris des croix ornées de fleurs de lys sur lesquelles on pouvait lire : « La parole à la France. Lheure à Dieu » afin de ralier la cause monarchique autour du duc de Bordeaux, fils de la duchesse de Berry, futur Henri V. En août 1870, alors que la France de Napoléon III connaît de graves défaites dans la guerre contre la Prusse, le comte de Chambord quitte Frohsdorf dans lintention de senrôler. Il lance le 1er septembre 1870 un appel à « repousser linvasion, sauver à tout prix lhonneur de la France, lintégrité de son territoire. » Le 4 septembre 1870, le Second Empire seffondre après la défaite de Sedan. Otto von Bismarck accepte, en février 1871, lorganisation délections législatives, sous contrôle prussien, afin de disposer dune assemblée constituante entérinant le traité de Francfort. Cette assemblée compte 240 républicains contre 400 monarchistes, divisés entre légitimistes et orléanistes. La voie semble donc ouverte à une restauration de la royauté. En juillet 1871, le comte de Chambord revient en France, et lance le 5 juillet, de son domaine de Chambord, un manifeste dans lequel il déclare : « je ne laisserai pas arracher de mes mains létendard dHenri IV, de François Ier et de Jeanne dArc. Je lai reçu comme un dépôt sacré du vieux roi mon aïeul, mourant en exil ; il a toujours été pour moi inséparable du souvenir de la patrie absente ; il a flotté sur mon berceau, je veux quil ombrage ma tombe. » Pour le prétendant, refuser de renoncer au drapeau blanc est une question de principe, qui concerne lidée même quil se fait de la monarchie : il ne peut accepter le drapeau tricolore, qui flottait sur léchafaud de Louis XVI. Il précise sa pensée le 25 janvier 1872, par un nouveau manifeste, dans lequel il proclame. « Je nai pas à justifier la voie que je me suis tracée. Je ne laisserai pas porter atteinte, après lavoir conservé intact pendant quarante années, au principe monarchique, patrimoine de la France, dernier espoir de sa grandeur et de ses libertés. Je narbore pas un nouveau drapeau, je maintiens celui de la France. En dehors du principe national de lhérédité monarchique sans lequel je ne suis rien, avec lequel je puis tout, où seront nos alliances? Rien nébranlera mes résolutions, rien ne lassera ma patience, et personne, sous aucun prétexte, nobtiendra de moi que je consente à devenir le roi légitime de la Révolution. Le 5 août 1872, le comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe, se rend à Frohsdorf pour rencontrer le comte de Chambord et saluer en lui le « seul représentant du principe monarchique. » Il ajoute que si la France veut revenir à la monarchie, « nulle compétition ne sélèvera dans notre famille. » La réconciliation des Bourbons et des Orléans est accomplie. Les députés royalistes nomment alors une commission chargée de sentendre avec le comte de Chambord sur une future constitution, préalable au vote de la restauration de la monarchie. La commission désigne le député dOrthez Charles Chesnelong pour rencontrer le prétendant. Le 14 octobre 1873, à Salzbourg, le comte de Chambord approuve le projet constitutionnel que lui expose Chesnelong. Au sujet du drapeau, les deux hommes conviennent dun texte indiquant que le comte de Chambord « se réserve de présenter au pays et il se fait fort dobtenir de lui par ses représentants, une solution compatible avec son honneur et quil croit de nature à satisfaire lAssemblée et la Nation. » Le comte de Chambord na cependant pas caché à son interlocuteur quil naccepterait jamais le drapeau tricolore. Laccession au trône du comte de Chambord ne semble plus quune question de jours. Son représentant en France, le comte de Damas, a même fait réaliser une série de cinq carrosses, visibles aujourdhui au château de Chambord, pour son entrée à Paris. Cependant, en réaction aux interprétations que les parlementaires font des entretiens de Salzbourg, le comte de Chambord écrit le 27 octobre 1873 une lettre par laquelle il réaffirme son attachement au drapeau blanc, et ajoute que « Les prétentions de la veille me donnent la mesure des exigences du lendemain, et je ne puis consentir à inaugurer un règne réparateur et fort par un acte de faiblesse. » Ne pouvant plus espérer obtenir une majorité, la commission qui préparait la restauration de la monarchie doit alors mettre fin à ses travaux. Le comte de Chambord, qui ne sattendait pas à ce résultat, fait alors une démarche pour ressaisir ses chances : il se rend incognito en France le 9 novembre 1873, sinstalle chez un de ses partisans à Versailles, et le 10 novembre, il demande à rencontrer le maréchal de Mac Mahon, président de la République. Il songe sans doute entrer à la chambre des députés, appuyé au bras du président, et obtenir des parlementaires enthousiastes la restauration de la monarchie. Mais Mac Mahon se refuse à rencontrer le comte de Chambord, en estimant que son devoir de chef de lexécutif le lui interdit. Dans la nuit du 20 novembre, lAssemblée vote le mandat présidentiel de sept ans. Pour les monarchistes, ce délai doit permettre dattendre la mort du comte de Chambord, après laquelle son cousin, Philippe dOrléans, comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe, pourrait monter sur le trône, en acceptant le drapeau tricolore. La République nétait alors envisagée que comme un mode de gouvernement temporaire. Tout est nature et d’époque, rien n’est caché, vous achetez ce que vous voyez : tous nos objets sont vendus « jus de grenier » pour reprendre une expression à la mode, car nous sommes incapables de restaurer, transformer ou bidouiller le moindre objet! Les objets sont en principe bon état, souvent quelques petits chocs pour les médailles ou objets métallique et sauf mention contraire abréviée dans le titre et détaillée ci-après ou mentionnée clairement dans la description. Pour les insignes et médailles les mentions dans le titre indiquent l’état avec les abréviations suivantes. Les insignes en argent sont expressément signalé comme « EN ARGENT » ou « SILVER », le mot argenté seul est souvent tronqué dans le titre il manque le é pour signaler argenté. Il est indiqué en variantes car de nombreux insignes présentent des variantes : couleurs, modèle, dos, homologation, etc….. Le tout au pluriel ce qui ne veut pas dire que je vends 2 objets par annonce, sauf si cela est clairement mentionné! Pour les documents papier, vu l’âge, de petits problème sont toujours présents : traces de poussièes, petites pliures, salissures mais les problèmes trés importants sont signalés. ATTENTION : Nous présentons toujours deux photos pour montrer le recto et le verso des objets en vente. Sauf mention contraire, nous vendons à la pièce (1 objet) par annonce. Pour les médaille de table en bronze ou autres métaux et les jetons de présence, de petits défauts peuvent être présents comme de petits chocs, les gros défauts sont en principe toujours signalés. NOUS LAISSONS CES OBJETS EN L’ETAT DE TROUVAILLE : NOUS N’EFFECTUONS AUCUN DE NETTOYAGE! A partir de 300 euros d’achats, possibilité de fractionner les paiements : 2 chèques remis à l’encaissement à 1 mois d’intervalle ou plus de chèque si achats plus importants. L’objet est envoyé 21 jours après remise en banque du premier chèque afin d’éviter les escroqueries. Les expéditions sont généralement faites une à deux fois par semaine, en principe en milieu et en fin de semaine, en fonction des jours ouvrables, de la charge de travail, et des vacances générales d’été. Durant les vacances d’été (juillet et août) les envois sont réalisés une seule fois par semaine. ATTENTION : notre bureau de poste est fermé le jeudi. A noter : cette information n’a qu’une valeur indicative – elle n’est en aucun cas contractuelle. Merci d’être compréhensif. Nos tarifs d’envois comprennent. L’emballage en enveloppe à bulle pour les petits objets (nous sommes une société commerciale). Les frais postaux (affranchissement additionnés des frais de suivi ou de recommandé lorsque ce poste est choisi). La TVA que nous payons, car ces frais inclus dans notre prix de vente constituent une marge pure pour les services fiscaux. GARANTIES : S eul sont assurés les objets en recommandé conformément aux conditions générales de vente des prestations courrier – colis de la Poste R1, R2, R3. ATTENTION AUCUN REMBOURSEMENT EN CAS DE PERTE OU DE DETERIORATION AVEC LES LETTRES SUIVIES OU MAX! Le fait d’acheter ou d’enchérir constitue l’acceptation de ces conditions de vente. L’item « Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires » est en vente depuis le samedi 30 mai 2020. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Médailles, décorations, ordres\France ». Le vendeur est « dixmude8″ et est localisé à/en BEIRE LE CHATEL. Cet article peut être livré partout dans le monde.
Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires
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Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires

Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires

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Suite à succession familiale de la région Beaunoise. Modèle laiton émaillé avec bordures noires, fleur de lys et cercle de devise bleu. Il s’agit du modèle de variante le moins courant, il semble exister 3 modèles identiques mais en variante et un quatrième dans le même esprit. Autour de 1870, on fabriqua à Paris des croix ornées de fleurs de lys sur lesquelles on pouvait lire : « La parole à la France. Lheure à Dieu » afin de ralier la cause monarchique autour du duc de Bordeaux, fils de la duchesse de Berry, futur Henri V. En août 1870, alors que la France de Napoléon III connaît de graves défaites dans la guerre contre la Prusse, le comte de Chambord quitte Frohsdorf dans lintention de senrôler. Il lance le 1er septembre 1870 un appel à « repousser linvasion, sauver à tout prix lhonneur de la France, lintégrité de son territoire. » Le 4 septembre 1870, le Second Empire seffondre après la défaite de Sedan. Otto von Bismarck accepte, en février 1871, lorganisation délections législatives, sous contrôle prussien, afin de disposer dune assemblée constituante entérinant le traité de Francfort. Cette assemblée compte 240 républicains contre 400 monarchistes, divisés entre légitimistes et orléanistes. La voie semble donc ouverte à une restauration de la royauté. En juillet 1871, le comte de Chambord revient en France, et lance le 5 juillet, de son domaine de Chambord, un manifeste dans lequel il déclare : « je ne laisserai pas arracher de mes mains létendard dHenri IV, de François Ier et de Jeanne dArc. Je lai reçu comme un dépôt sacré du vieux roi mon aïeul, mourant en exil ; il a toujours été pour moi inséparable du souvenir de la patrie absente ; il a flotté sur mon berceau, je veux quil ombrage ma tombe. » Pour le prétendant, refuser de renoncer au drapeau blanc est une question de principe, qui concerne lidée même quil se fait de la monarchie : il ne peut accepter le drapeau tricolore, qui flottait sur léchafaud de Louis XVI. Il précise sa pensée le 25 janvier 1872, par un nouveau manifeste, dans lequel il proclame. « Je nai pas à justifier la voie que je me suis tracée. Je ne laisserai pas porter atteinte, après lavoir conservé intact pendant quarante années, au principe monarchique, patrimoine de la France, dernier espoir de sa grandeur et de ses libertés. Je narbore pas un nouveau drapeau, je maintiens celui de la France. En dehors du principe national de lhérédité monarchique sans lequel je ne suis rien, avec lequel je puis tout, où seront nos alliances? Rien nébranlera mes résolutions, rien ne lassera ma patience, et personne, sous aucun prétexte, nobtiendra de moi que je consente à devenir le roi légitime de la Révolution. Le 5 août 1872, le comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe, se rend à Frohsdorf pour rencontrer le comte de Chambord et saluer en lui le « seul représentant du principe monarchique. » Il ajoute que si la France veut revenir à la monarchie, « nulle compétition ne sélèvera dans notre famille. » La réconciliation des Bourbons et des Orléans est accomplie. Les députés royalistes nomment alors une commission chargée de sentendre avec le comte de Chambord sur une future constitution, préalable au vote de la restauration de la monarchie. La commission désigne le député dOrthez Charles Chesnelong pour rencontrer le prétendant. Le 14 octobre 1873, à Salzbourg, le comte de Chambord approuve le projet constitutionnel que lui expose Chesnelong. Au sujet du drapeau, les deux hommes conviennent dun texte indiquant que le comte de Chambord « se réserve de présenter au pays et il se fait fort dobtenir de lui par ses représentants, une solution compatible avec son honneur et quil croit de nature à satisfaire lAssemblée et la Nation. » Le comte de Chambord na cependant pas caché à son interlocuteur quil naccepterait jamais le drapeau tricolore. Laccession au trône du comte de Chambord ne semble plus quune question de jours. Son représentant en France, le comte de Damas, a même fait réaliser une série de cinq carrosses, visibles aujourdhui au château de Chambord, pour son entrée à Paris. Cependant, en réaction aux interprétations que les parlementaires font des entretiens de Salzbourg, le comte de Chambord écrit le 27 octobre 1873 une lettre par laquelle il réaffirme son attachement au drapeau blanc, et ajoute que « Les prétentions de la veille me donnent la mesure des exigences du lendemain, et je ne puis consentir à inaugurer un règne réparateur et fort par un acte de faiblesse. » Ne pouvant plus espérer obtenir une majorité, la commission qui préparait la restauration de la monarchie doit alors mettre fin à ses travaux. Le comte de Chambord, qui ne sattendait pas à ce résultat, fait alors une démarche pour ressaisir ses chances : il se rend incognito en France le 9 novembre 1873, sinstalle chez un de ses partisans à Versailles, et le 10 novembre, il demande à rencontrer le maréchal de Mac Mahon, président de la République. Il songe sans doute entrer à la chambre des députés, appuyé au bras du président, et obtenir des parlementaires enthousiastes la restauration de la monarchie. Mais Mac Mahon se refuse à rencontrer le comte de Chambord, en estimant que son devoir de chef de lexécutif le lui interdit. Dans la nuit du 20 novembre, lAssemblée vote le mandat présidentiel de sept ans. Pour les monarchistes, ce délai doit permettre dattendre la mort du comte de Chambord, après laquelle son cousin, Philippe dOrléans, comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe, pourrait monter sur le trône, en acceptant le drapeau tricolore. La République nétait alors envisagée que comme un mode de gouvernement temporaire. Tout est nature et d’époque, rien n’est caché, vous achetez ce que vous voyez : tous nos objets sont vendus « jus de grenier » pour reprendre une expression à la mode, car nous sommes incapables de restaurer, transformer ou bidouiller le moindre objet! Les objets sont en principe bon état, souvent quelques petits chocs pour les médailles ou objets métallique et sauf mention contraire abréviée dans le titre et détaillée ci-après ou mentionnée clairement dans la description. Pour les insignes et médailles les mentions dans le titre indiquent l’état avec les abréviations suivantes. Les insignes en argent sont expressément signalé comme « EN ARGENT » ou « SILVER », le mot argenté seul est souvent tronqué dans le titre il manque le é pour signaler argenté. Il est indiqué en variantes car de nombreux insignes présentent des variantes : couleurs, modèle, dos, homologation, etc….. Le tout au pluriel ce qui ne veut pas dire que je vends 2 objets par annonce, sauf si cela est clairement mentionné! Pour les documents papier, vu l’âge, de petits problème sont toujours présents : traces de poussièes, petites pliures, salissures mais les problèmes trés importants sont signalés. ATTENTION : Nous présentons toujours deux photos pour montrer le recto et le verso des objets en vente. Sauf mention contraire, nous vendons à la pièce (1 objet) par annonce. Pour les médaille de table en bronze ou autres métaux et les jetons de présence, de petits défauts peuvent être présents comme de petits chocs, les gros défauts sont en principe toujours signalés. NOUS LAISSONS CES OBJETS EN L’ETAT DE TROUVAILLE : NOUS N’EFFECTUONS AUCUN DE NETTOYAGE! A partir de 300 euros d’achats, possibilité de fractionner les paiements : 2 chèques remis à l’encaissement à 1 mois d’intervalle ou plus de chèque si achats plus importants. L’objet est envoyé 21 jours après remise en banque du premier chèque afin d’éviter les escroqueries. Les expéditions sont généralement faites une à deux fois par semaine, en principe en milieu et en fin de semaine, en fonction des jours ouvrables, de la charge de travail, et des vacances générales d’été. Durant les vacances d’été (juillet et août) les envois sont réalisés une seule fois par semaine. ATTENTION : notre bureau de poste est fermé le jeudi. A noter : cette information n’a qu’une valeur indicative – elle n’est en aucun cas contractuelle. Merci d’être compréhensif. Nos tarifs d’envois comprennent. L’emballage en enveloppe à bulle pour les petits objets (nous sommes une société commerciale). Les frais postaux (affranchissement additionnés des frais de suivi ou de recommandé lorsque ce poste est choisi). La TVA que nous payons, car ces frais inclus dans notre prix de vente constituent une marge pure pour les services fiscaux. GARANTIES : S eul sont assurés les objets en recommandé conformément aux conditions générales de vente des prestations courrier – colis de la Poste R1, R2, R3. ATTENTION AUCUN REMBOURSEMENT EN CAS DE PERTE OU DE DETERIORATION AVEC LES LETTRES SUIVIES OU MAX! Le fait d’acheter ou d’enchérir constitue l’acceptation de ces conditions de vente. L’item « Royauté Croix des partisans HENRI V Comte de CHAMBORD variante bordures noires » est en vente depuis le lundi 5 août 2019. Il est dans la catégorie « Collections\Militaria\Médailles, décorations, ordres\France ». Le vendeur est « dixmude8″ et est localisé à/en BEIRE LE CHATEL. Cet article peut être livré partout dans le monde.
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